II Maria Deraismes, Denise Michaud-Roman et les citoyennes Noble, Auger, Mode, Lo-rillard… qui ont fui l’Église et « repoussé les cornettes »
III Roger Huron aux côtés d’André Lorulot – de 1959 à 1963
IV Mgr Charles Gibier et la reconquête par l’Église du terrain perdu dans le diocèse de Versailles
V Des pionniers de la Libre Pensée et de la pensée libre à Mézy et dans le canton de Houdan
VI À la recherche de Libres Penseurs disparus
VII Auguste Selve, Pierre Dagorn, Émilien Meche, Roger Huron : comment ont-ils rejoint la Libre Pensée organisée ?
VIII Les sépultures libres penseuses : des manifestes post-mortem
IX Les hauts et les bas du fédéralisme libre penseur en Seine-et-Oise
X 1880-1889 : les rapides progrès de la Libre Pensée opérative en Seine-et-Oise pour « le triomphe de la raison, de la science et de la liberté de conscience »
XI 1890-1905 : la Libre Pensée de Seine-et-Oise unie pour la Séparation
XII 1905-1914 : une fédération « aux pieds d’argile »
XIII 1914-1926 : des années sombres pour la Libre Pensée en Seine-et-Oise : « la duperie de l’Union sacrée »
XIV Après les années d’effondrement : la remontée de la Libre Pensée organisée (1926-1940)
XV 1945 1963 : des années florissantes pour la « Fédération Lorulot » après quatre années terribles, quatre années d’hibernation pour la Libre Pensée (1940-1944)
XVI La Fédération Lorulot tient bon de 1964 à 1983 grâce à Roger Huron
Annexes
AI La Seine-et-Oise (78) des années 1870 d’après Malte-Brun
AII Quelques repères bibliographiques de référence accessibles au siège de l’IRELP